eu d’histoires se font lire avec plus de plaisir.Ç’UN HOMME DE GOUT. i79 moins une deices compilations indigestes qui en passent les bornes,*s%ns les bien remplir. Partout on y reconrioit l’écrivain judicieux qui expose les Christian Louboutin laits avec clarté’, le politique é< lairé qui remonte à leurs causes , et le philosophe impartial qui apprécie leurs effets : tout y esi à sa place, et rien n’y est superflu. Si l’auteur y fait entrer la plupart des évènemens qui agitèrent l’Europe, c’est queJes intérêts de l’Angleterre s’y Louboutin Flats trouvent mêlés: jamais ils ne lui font perdre le fil de son récit. Les portraits qu’il trace sont plus vrais que brillans; il s est plus attaché à saisir les rapports qu’à Paginer des contrastes ; il peint d’après les faits et le récit des contemporains. Au surplus, malgré l’impartialité Sac Pas Cher que l’auteur conserve assez généralement dans cet ouvrage, il lui éi happe-de loin en loin quelques expressions qui dé< èient l’esprit de paiti : mais peu d’historiens ont été exempts de ce défaut. Hume a été traduit par l’abbé Prévôt et madame Beloi. U Histoire de Hume traduite en françois forme six volumes in-4° et dix huit vol. in-xa. • i .Le P. d’Orléans. — Les Révolutions d’Argleterre du P. d’Orléans ne saur oient entrer en comparaison avec XHistoire Achat Louboutin de Rapin ni avec celle ,de Hume. Gest un livre moins solide que brillant, moins instructif qu’agréable, où l’on ne trouve que des idées imparfaites du gouvernement, de la législation et des moeurs. Ce qui concerne les Stuart est écrit avec une partialité évidente. Louis Vuitton Homme Le jésuiie françois règle la plupart !de ses jugemens, tantôt sur les intéiêts de la cour de Rome, tantôt sur d’autre® principes. L’auteur avo.it été prédicateur avant que d’êtrehistorien
depuis son origine sous les
On y trouve des choses curieuses, et il est Louis Vuitton Montres plus exact qu’on ne pense. Nous n’ignorons point qu’il se trompe quelquefois ; mais quel voyageur d t toujours vrai? Ses Voyages sont sur-tout précieux aux joailliers , pour le détail qu’ils renferment sur le commerce des pierreries.Chardin ( le chevalier), qui faisoit le même commerce , passe encore pour plus sincère que Tavernier. Le recueil de ses ouvrages, traduit en anglois, en flamand et en allemand, est en dix volumes in-12 et en quatre volumes in-4°. Ils sont à-la-fois très-curieux et Louboutin très-vrais Louboutin ; et on doit bien les distinguer de Louboutin Pumps ceux de tant d’autres voyageurs, qui n’ont couru le monde que pour en rapporter des ridicules et des mensonges. Chardin donne une idée complète de la Perse, de sa religion, de ses usages, de ses mœurs , de ses coutumes, etc. La description qu’il fait des autres pays orientaux qu’ila parcourus, n’est ni moins exacte ni moins curieuse.Melchisédech Thévenot, célèbre voyageur françois, vit à peu près les mêmes pays que Chardin. Dès sa jeunesse il quitta Paris, sa patrie, pour parcourir l’univers. Il ne vit néanmoins qu’une partie de l’Europe ; mais l’étude des langues, et le soin qu’il prit de s’informer avec exactitude des moeurs et des coutumes des différens peuples, le rendirent peut-être plus habile dans la connoissance des pays étrangers que s’il y eût voyagé Chaussures Louboutin pas cher lui-même. Ses Voyages au Levant, en Perse et aux Indes, depuis l’an 1662jusqu’en 1667, trois vol. Sac a main in-°, Paris, 1665-1674-1684, sont très-estimés.$180 BIBLIOTHÈQUE *Millot. (l’abbé) — 11 règne plus d’exactituHe et d’impartialité dans les Êlèmens de l’Histoire d’Angleterre, depuis son origine sous les Romains jusqu’au, règne de George II, par l’ab’bé Millot
pour le parlement d’Angleterre, un article
Cet écrivain a profité des beautés des auteurs anglois, évité leurs défauts, et tient un juste Louis Vuitton milieu entre l’extrême concision , qui laisse toujours Louboutin Pumps quelques nuages, et la prolixité, qui Sac Gucci énerve tout en voulant tout éclaircir.Du ‘Artre. — Pour rendre son Abrège de l’Histoire d’Angleterre, en trois volumes m-12, plus intéressant, du Tertre s’est étendu davantage sur les derniers règnes des rois d’Angleterre. Les évènemens des siècles reculés ‘nous touchent moins que ceux qui sont arrivés de notre temps : aussi , de trois volumes qui composent cet Abrégé chronologique, il n’en a employé qu’un à écrire ce qui s’est passé depuis l’invasion des Romains dans’ Ta Grande-Rretagne jusqu’au règne d’Elisabeth ; ce qui est arrivé depuis cette princesse jusqu’à George ÏI, fait Ja matière des deux autres. On a mis à la fin Louboutin de chaque tome des choses curieuses et instructives : dans l’un, jce sont des anecdotes qu’on n’auroit pas pu faire entrer dans le corps de l’ouvrage sans interrompre la suite des jévènemens, mais qu’on ne lit pas avec moins Louboutin de plaisir que les évènemens mêmes qui y ont donné lieu ; dans 4’autre, c’est la description des principales villes d’Angleterre, d’Ecosse et d’Irlande, avec des remarques sur •la religion, les moeurs et le gouvernement des habitans. Il y a aussi, pour le parlement d’Angleterre, un article ‘«éparé, qui mérite d’être lu.D’UN IIOMME.DE GOUT. 181Rayjtal. ( l’abbé ) — Son Histoire du parlement d’Angleterre est une harangue sur” l’origihe, les progrès et l’état actuel du patlement de la Grande-Bretagne.
De tous les historiens anglois, Clarendon et Hume
comédies sans nœud et sans dénouement, qu’on Chaussure Louboutin appelle des pièces à tiroir.:La Croix. — Nous avons un Abrégé de l’Histoire d’Angleterre, en six tomes Achat Sac in-12., qui se trouvent à Paris chez la veuve Duchesne , d’où la Croix n tiré les Anecdotes anglaises, un volume in-8J, qui font partie de la’ collection A’Anecdotes imprimée chez Vincent.Buchanan.’ — Avant les historiens dont nous venons de parler, l’Angleterre et Louboutin Daffodile l’Ecosse en a voient eu d’autres qui méritent d’être distingués. “L’Histoire d’Ecosse, par Uuchanan, a de la réputation. La latinité est digne du siècle d’Auguste ; mais la vérité y manque souvent.’ Un air de raillerie et beaucoup de partialité s’y font sentir Sac Louis Vuitton aux lecteurs les moins pénétrans. Cet historien, trop servile imitateur des anciens, leur a dérobé leurs meilleures réflexions et leurs plus beaux tours. Plusieurs critiques ont observé qu’il âVoit peu d’élévation dans les sentiroens, e? qu’on devinoit, ren lisant son Histoire, qu’il. manquoit de mœurs. «Clarendon. — Mylord Clarendon a fait l’Histoire des guerres civiles d’Angleterre, auxquelles il a eu tant dej8’z bibliothèquepart. Cet ouvrage est écrit avec beaucoup de Force et de dignité. Les portraits de tout ce que cette région a produit de caractères singuliers , de grands hommes ou d’esprits fa tieux, y sont tracés de main de maître. L’écrivain a eu l’avantage de vivre avec tous les gens dont il parle, et il avoit trop de pénétration pour ne les pas bien connoître. De tous les historiens anglois, Clarendon et Hume sont les moins partiaux.Bacont. — Le chancelier Bacon a donné YHistoire de Henri VII, en latin : elle a passé pour un chef-d’œuvre’; mais on Louboutin Bottines ne la regarde pas de même aujourd’hui. Comment se peut-il faire, dit Voltaire, que quelques personnes osent comparer un si petit ouvrage avec l’Histoire de notre illustre de Thou?
en deux volumes in-13
Marsollier. — L’abbé Marsollier , qui a traité le même sujet que Bacon, a écrit avec plus de Sac Louis Vuitton simplicité. Son Histoire de Henri VII, roi d’Angleterre, réimprimé© en 1727, en deux volumes in-iz, est le meilleur ouvrage de cet auteur. , j • JFrérojt et Marsy. <— On lit avec plaisir VHistoire de Marie Stuart, par Fréron et l’abbé de Marsy, 1742, trois volumes in-12. Cet ouvrage est écrit d’un style pur et coulant, Louboutin Soiree et avec! Assez d’impaitialité.L eti nous a donné la Vie d’Olivier Cromwel, en deux volumes in-12, et celle d ”Elisabeth, ‘àussi en-deux volumes. Cet auteur n’écrivoit pas avec élégance : mais l’on trouve chez lui des faits curieux qui» amusent les lecteurs oisifs, lesquels se soucient peu de l’exacte vérité. D’UN HOMME DE GOUT. i83 Prévôt. ( l’abbé ) •— Les couleurs Louis Vuitton Pas Cher romanesques que Leti a employées quelquefois, se font encore plus sentir dans YHistoife de Guillaume le Conquérant, duc de Normandie et rçi d’Angleterre>. en deux volumes in-13, par l’abbé Prévôt, Louboutin Homme et dans’pelle deMaj-guerUe d’Anjou, par le même auteur. Cette simplicité Louboutin France nobl,e qui est le véritable ornement de l’histoire , n’est point le caractère .de- c’es deux ouvrages. • rGenest. — C’est aux Essais historiques sur Panspar S’aint-‘Foix, qu’est due l’idée des Essais historiques sur VAngleterre, volume’ in-12., par Genest. Le but de l’auteur est de faire connoitre par les faits l’histoire des Anglois, leur constitution, les sources de leur’puissance, les mœurs de ces peuples, leurs usages, et mémej à quelques égards, leur littérature. Mais si ce plan est le même que celui de M. de SaintwFoix, l’exécution en est bien différente. Vous ne trouverez ici ni cette élé-t garice de style* ni cette tournure également piquante
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